Dans Ouzbekistan, Voyages un billet écrit par Christine le 18 décembre 2017
Après le Kirghizstan et la Mongolie, j’ai poursuivi l’été dernier ma découverte des pays de la route de la soie avec l’Ouzbékistan. Au coeur de l’Asie centrale, j’ai inscrit mes pas dans ceux des grands voyageurs sur une terre d’une richesse historique, culturelle et architecturale époustouflante.
A la veille des fêtes, plutôt que de vous raconter une histoire de Père Noël, c’est au pays des mille et une nuits que je vous convie, dans une cité caravanière hors du temps construite dans une oasis millénaire.
On ne se rend pas à Khiva par hasard, encore moins à la va-vite. A l’extrême ouest de l’Ouzbékistan, la plus intacte et la plus reculée des villes qui jalonnent la mythique route de la soie, se désire, se mérite presque. Pour comprendre l’histoire de cette cité et la place qui a longtemps été la sienne en Asie centrale, il faut vouloir y aller et se donner le temps d’y arriver, afin de prendre la mesure de l’immensité du désert de Kyzyl Koum et saisir ce que représentait un tel périple au temps des caravaniers.
C’est en train que je rallie la socialiste Tachkent à la région du Khorezm (littéralement le pays du soleil), à un jet de pierre de la frontière turkmène. 20 heures dans un wagon non climatisé en plein juillet marquées par des arrêts incompréhensibles au milieu de nulle part, des gares dans des hameaux improbables et surtout par le désert monotone qui invariablement déroule ses « sables rouges », ou plutôt ses terres arides et caillouteuses sous le regard impassible de voyageurs blasés. Tout au long de ce trajet (qui fera l’objet d’un billet dédié), on regarde, on mange, on parle, on lit mais tôt ou tard, la touffeur ambiante et le rythme répétitif des roues sur la voie anesthésient même les plus résistants. Après de longues heures, dans une semi léthargie, lorsque les passagers quittent les uns après les autres leur compartiment pour s’agglutiner aux fenêtres du couloir, je les imite sans vraiment comprendre. La nuque tendue vers l’avant du convoi, je scrute le paysage et saisis enfin. La végétation, d’abord timide, s’impose davantage à chaque kilomètre parcouru. Le désert s’efface! Et au moment où le train franchit le ruban verdâtre de l’Amou Darya pour s’enfoncer dans l’oasis du Khorezm, c’est une véritable émotion me saisit et me donne presque envie d’applaudir ce fleuve providentiel. La gare terminus d’Urgench ne signe pas la fin du périple pour autant. Il me faut encore parcourir en bus 35 kilomètres avant de pouvoir enfin découvrir la perle du désert.
Arriver à Khiva, c’est réellement être transporté dans les mille et une nuits, remonter au temps des caravaniers qui trouvaient ici un ultime répit sur la route de la soie, avant de rejoindre l’Iran ou la Volga. La ville n’a pas d’âge mais elle aurait, dit-on, été fondée par Sem, le fils de Noé, qui y découvrit un puits où les hommes et les bêtes pouvaient s’abreuver avant de poursuivre leur interminable marche transcontinentale . D’abord perse, puis arabe, son histoire est marquée par les assauts successifs des troupes de Genghis Khan, de Tamerlan, des Ouzbèkes puis des Russes. Pillée, saccagée, la cité, qui est scindée en deux parties, Dichan-Kala, la ville extérieure et Itchan-Kala, la partie intérieure, s’est à chaque fois relevée. Aujourd’hui, même si rien n’est vraiment très ancien ici, Itchan-Kala a conservé son authenticité et a été maintenue dans son état d’origine grâce à des travaux de restauration respectueux des techniques de construction traditionnelles.
« Je donnerais deux sacs d’or pour voir Khiva, ne fût-ce que d’un oeil » était-il courant d’entendre en Orient.
Retranchée derrière une imposante muraille de brique haute d’une dizaine de mètres, la petite mais très dense ville intérieure (moins d’1km2) est construite selon les traditions d’urbanisme ancestrales de l’Asie centrale. Après avoir franchi l’une de ses quatre portes, on se retrouve aussitôt dans un incroyable labyrinthe d’adobe sertie d’innombrables éclats de mosaïques bleu-vert et on ne tarde pas à comprendre l’engouement des voyageurs de jadis. Entièrement piétonnes, les ruelles ombragées serpentent entre une kyrielle de mosquées, madrasas, mausolées, caravansérails et marchés. Ebahi, on évolue comme téléportés dans une autre dimension. Tout est beau et raffiné. Coupoles vert jade, majoliques bleues et blanches, portes sculptées, piliers de bois ciselé, la ville regorge de détails que l’on découvre en flânant le nez au vent.
Enfin du vent, il n’y en a pas vraiment à Khiva. En été, dès le milieu de la matinée, le climat continental se révèle dans toute sa brutalité. La fournaise estivale s’abat sur la ville (en juin de cette année, il a fait jusqu’à 50°), la lumière écrase ses habitants sous une chape aveuglante. Assommé de chaleur, on n’a d’autre choix que de se réfugier à l’ombre des constructions habilement orientées pour créer des courants d’air rafraichissants. Cela ne suffit toutefois pas très longtemps. Il faut rapidement mettre sa curiosité en veilleuse et reporter sa visite à des heures moins brûlantes.
Comme j’en ai pris l’habitude lorsque je voyage, c’est au petit matin que j’aime partir seule à la chasse aux belles images. Il est 6h. lorsque je pousse la porte de mon bed & beakfast et m’enfonce au coeur d’Itchan Kala, encore toute ensommeillée. Dans les ruelles désertes, couleur sable et turquoise, j’ai l’impression d’évoluer dans un immense décor de cinéma. Khiva, qui a acquis le statut de ville-musée en 1967, présente l’ensemble architectural le plus homogène et préservé du monde islamique. Les grincheux ironiseront que ce statut lui a fait perdre son âme et ses habitants mais même si les visiteurs sont encore plus nombreux que les familles résidentes, la cité, qui s’était vidée sous l’ère soviétique, se repeuple peu à peu. Aujourd’hui 2’000 des 40’000 habitants de Khiva vivent de nouveau dans l’antique enceinte.
De si bonne heure, les rues sont certes vides mais la cité n’est pas morte pour autant. La vie est là, tout près. Je découvre, étonnée, que les maisons sont ouvertes à tout vent. Un peu gênée, je regarde leurs habitants, avides d’un peu de fraîcheur, dormir à même le sol sur le perron ou juste derrière la porte, lorsqu’ils n’installent pas leur lit carrément dans la rue. Quel étrange sentiment que de contempler tous ces corps assoupis dans ce décor figé dans le temps et comment échapper à l’impression de se promener dans l’univers merveilleux d’un conte?
Au fil de ma balade, Khiva s’éveille peu à peu et m’offre un spectacle d’une autre nature.
La chorégraphie est parfaitement orchestrée. C’est un véritable ballet de balais!
La ville encore engourdie résonne maintenant du frottement régulier de balais sur les pavés. Jeunes et moins jeunes, hommes, femmes, de nombreuses personnes s’affairent en silence au débarbouillage matinal de la belle. Indifférents à ma présence, les balayeurs lèvent à peine la tête sur mon passage. J’ose en aborder quelques uns qui se laissent volontiers photographier mais quel dommage que je ne puisse d’avantage échanger avec eux. L’anglais ne m’est ici d’aucun secours.
Un passé tumultueux et effrayant
Mais sous son aspect actuel bien propret, Khiva la coquette cache un passé mouvementé. Célèbre pour son marché d’esclaves, la capitale du Khorezm a longtemps été un repaire de trafiquants, de brigands et de voleurs où trahisons et meurtres étaient monnaie courante. Son histoire regorge d’épisodes sordides propres à filer des cauchemars aux plus costauds. En passant sous le Kalta Minor, le minaret inachevé qui aurait dû être le plus haut du monde musulman, je ne peux m’empêcher d’entendre les cris de l’architecte précipité du haut de ses 26 mètres pour avoir secrètement accepté d’en construire un plus grand pour l’Emir de Boukhara. Plus loin ce sont les hurlements des hommes du Tsar Pierre massacrés par les troupes du Khan alors qu’ils se croyaient en sécurité à Khiva qui me hantent. Et comment ne pas frissonner en pensant à leur malheureux chef, un prince russe écorché vif, dont la peau a été tendue sur un tambour?
Les rires d’un enfant qui s’amuse avec un chat au coin de la rue me tirent heureusement de mes sombres rêveries. ll esquisse un sourire timide avant de disparaître en courant. Ce sont alors de délicieux effluves de boulangerie qui viennent chatouiller mes narines. A Khiva comme ailleurs en Ouzbékistan, on cuit le pain en plein air dans des fours aux parois d’argile. L’odeur si appétissante des galettes piquées de formes géométriques me rappelle soudain que l’heure du ptit déj. approche et qu’il est temps de regagner ma pension.
Durant la journée, Khiva me révélera d’autres trésors. Elle me laissera entrevoir ce qu’était la vie des concubines du Khan dans leur harems raffinés, m’ouvrira les portes de ses medersas où tant d’étudiants se sont formés et me ravira par la richesse et la finesse des ornements de ses palais. Le soir elle m’entraînera même dans des danses étourdissantes, rythmées par les tambourins et les grelots d’une belle ensorceleuse.
Je la quitterai peu après pour d’autres destinations prestigieuses mais je lui resterai longtemps redevable d’avoir si bien su me faire entrer dans la légende!
Nous voila déjà presque arrivés à Noël. Je ne saurais terminer ce billet sans vous souhaiter d’heureuses fêtes, remplies de magie, de chaleur et de partages. Une nouvelle fois, je vous remercie très sincèrement pour votre présence ici malgré mon manque d’assiduité au cours de ce second semestre 2017. J’ai beaucoup de photos à vous montrer mais le temps pour rédiger des articles m’a hélas cruellement manqué. J’espère de tout coeur que 2018 me permettra de rattraper mon retard.
Joyeux Noël à tous et à très bientôt 🙂
Merci, Christine, pour ce Khiva aux aurores, dans la pureté de ses lignes, l’ocre de ses pierres, et l’intimité discrète, encore endormie, de ses habitants… avant l’arrivée des touristes et la chaleur torride de l’été… Une bien belle vision, secrète et personnelle, de cette perle de l’Ouzbekistan. Joyeux Noël à toi aussi ! Amitiés, Mireille
Ah Mireille, merci pour les si jolis mots que tu déposes sur ce billet. Ils m’enchantent. Très heureuse nouvelle année et à bientôt avec toute mon amitié 🙂
Alors là, tu as le don de nous mettre l’eau à la bouche !!! Ton reportage est génial ! Merci pour ce beau partage 🙂 🙂 🙂 A mon tour de te souhaiter une merveilleuse année 2018, qu’elle te mène sur des sentiers toujours plus inconnus pour notre plus grand plaisir et surtout … pour le tien !!! Des énormissimes becs ma très chère cop’s 😉
Ma très chère Laurence, merci pour tes voeux et ton comm. sur ce reportage que j’ai un peu tardé à écrire pour cause de surcharge professionnelle et personnelle cet automne. Quel plaisir de lire qu’il t’a plu! Je souhaite de tout coeur que 2018 permettent à nos chemins de se croiser à nouveau ici ou tout là-bas et d’ici là t’envoie plein de bisouilles de mes montagnes enneigées. A bientôt copinette 🙂
Un très grand merci Christine. Quel beau reportage, quel beau rêve. Je me plonge à chaque fois avec merveille au coeur de vos récits. Continuez à nous faire entrevoir par vos photos les beautés de ce monde. Une très belle fin d’année et au plaisir de vous lire en 2018.
Bonjour Anita, c’est un plaisir et une vraie satisfaction de lire que mes reportages vous plaisent et vous intéressent. Merci de tout coeur de prendre la peine de l’écrire ici. 2017 m’a donné l’occasion de visiter de nombreuses et magnifiques contrées. Je me réjouis de partager mes découvertes avec vous l’an prochain. D’ici là je vous souhaite une très belle et heureuse nouvelle année.
Coucou Christine. Contente de te retrouver dans ton espace. J’aime tellement tes reportages et textes. Le billet sur Khiva me ravit car j’y suis allée en 2014. J’ai eu l’occasion de visiter la belle et de m’extasier sur son architecture superbe. Et même de faire ce jeu de mot pourri vers le mur d’enceinte à l’entrée de la ville: « Qui va là? », Ce qui a beaucoup fait rire mes compagnons de voyage. C’était un très beau voyage et j’espère que tu as aussi eu l’occasion de visiter d’autres belles villes d’Ouzbékistan mais à part la capitale que je n’ai pas du tout appréciée. Merci de m’avoir replongé dans ces souvenirs magiques et je te souhaite également de passer de belles fêtes de fin d’année. Et une belle année 2018 remplie de photos et autres voyages merveilleux. Bises alpines et belle journée.
Bonjour Dédé,
Hé hé j’ai aussi entendu Khiva-là cet été 😉 Il faut dire que les imposantes murailles de la ville se prêtent particulièrement à ce jeu de mot! J’ai bien sur visité d’autres villes d’Ouzbékistan et comme toi , je n’ai pas particulièrement été séduite par Tashkent mais je n’y ai fait qu’un bref passage qui ne m’a pas permis de véritablement faire connaissance (et en plus, il faisait une chaleur écrasante). D’autres villes m’ont par contre procuré de vraies belles émotions. Merci pour ta fidélité et à bientôt pour la suite du récit. Je te souhaite une très heureuse nouvelle année et t’envoie mes meilleurs messages des Alpes valaisannes pour une fois.
Tu nous entraînes dans un périple merveilleux! Ces bleus sur les murs! Ces sourires, ces visages, c’est féérique, même si l’histoire est plus noire. Quel beau voyage!
Belle fin d’année à toi.
Une bien belle promenade ce matin avec toi, avec tes yeux et à travers tes mots. (Je comprends que tu ne puisses pas toujours travailler autant que tu le voudrais à ces billets: cela prend du temps pour écrire, mettre en forme et nous donner à voir et à lire ce que tu partages ici. ) Mais nous savourons à chaque fois, au rythme qui te convient. Ces endormis, ces balayeurs, ces pierres, ces couleurs, comme tu le dis, un vrai conte, dit avec calme et lenteur qui font du bien. Merci !
Une très bonne fin d’année à toi aussi et la promesse de 2018, ici et sur instagram.
Chère Anne,
Merci de tout coeur d’être sensible à tout le travail de rédaction que nécessitent ces billets. Les savoir appréciés est un encouragement à continuer même s’il me faut du temps pour le faire. Je te remercie de venir me retrouver ici et sur instagram et te souhaite une magnifique nouvelle année.
Votre reportage riche en magnifiques photos renforce notre idée et rêve d’aller vers cette route de la soie – nous ne savons pas encore comment nous y prendre, mais cela viendra…
Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année et au plaisir de vous relire très vite !
Bonjour Mesdames,
C’est une très belle destination, un pays d’une richesse historique incroyable et peuplée de gens charmant. N’hésitez plus !
Je vous souhaite une nouvelle année remplie de belles rencontres, d’heureuses surprises et de sourires.
Quel bel article, toujours si belle ta prose.
Je découvre le pays, on voit rarement des articles dessus, et je suis complètement sous le charme de Khiva, j’adore l’architecture, et ses tons bleus, vert,s turquoises, un régal des yeux. L’histoire que tu nous contes est passionnante ! 🙂
Merci Anne!
D’autres cités de légende nous attendent en Ouzbekistan. J’espère que mes prochains récits t’intéresseront tout autant. D’ci là merci de tout coeur de partager ici ton ressenti sur mes billets. Je te souhaite une très belle nouvelle année, remplie d’images envoûtantes.
Je suis vraiment ravie de te lire à nouveau ici avec un magnifique reportage (toujours aussi bien construit et illustré ) … c’est un vrai plaisir de découvrir ces contrées lointaines qui font rêver (autre culture, architecture différente … lumière, climat) et nous font voyager un peu du coup 😉
je te souhaite de nouvelles découvertes, encore et encore … on pourra ainsi continuer à se régaler avec tes belles images 🙂
A bientôt !
Chère Marie,
La photographie m’a appris à ouvrir les yeux et à regarder, elle m’a donné le gout de pousser toujours plus loin mes explorations. Je compte bien continuer à découvrir notre belle planète . Merci d’être là à chaque parution et de partager ton ressenti sur mes images et mes billets. Tu sais à quel point ces échanges me sont précieux.
A très bientôt et que 2018 te permette de réaliser de magnifiques images et t’apporte beaucoup de satisfaction.
Merci Christine, je te souhaite également une très belle année remplie de tout ce dont tu souhaites et bien plus encore ! 😀
C’est vraiment sympa, Anne. A toi aussi, je te souhaite plein de belles découvertes et beaucoup de satisfaction en 2018.
Merci pour ce voyage… tu m’as transportée dans un autre monde! Texte et images si bien accordés!
Joyeuses fêtes à toi et aux tiens!
Merci de tout coeur Gine et ravie que ces mots et ces images t’aient fait voyager. Très heureuse nouvelle année et à bientôt.
Tes images nous coupent le souffle tant elles sont belles, merci Christine pour ces cadeaux voyageurs partagés en 2017. Lumineuses fêtes de fin d’année à toi et aux tiens. Bises étoilées, à l’année prochaine. brigitte
Et bien Brigitte, merci mille fois pour ton enthousiasme et ta présence renouvelée ici. A mon tour, je t’envoie mes meilleurs voeux pour la nouvelle année et plein de bises chaleureuses.
Un très beau voyage et des photos plus qu’extraordinaires. Et très rarement vues sur les blogs. De toute façon tes images ont une patte très personnelles. Et particulièrement plaisantes à découvrir lorsqu’il fait zéro dehors. Je te souhaite une très belle année, encore des voyages et encore des photos…
C’est vrai que l’Ouzbékistan n’est pas encore une destination très courue. Mais elle gagne à être connue et les Ouzbèkes sont vraiment charmants. Ton compliment sur mes photos me touche beaucoup. J’ai beaucoup de peine à me rendre compte de cette patte personnelle dont tu parles mais on n’est jamais très objectif sur son propre travail et j’ai toujours tendance à douter. Alors merci de tout coeur chère Pastelle. C’est un vrai plaisir d’échanger avec toi. Quant aux voyages, j’ignore encore où ils me conduiront cette année mais c’est sûr qu’à un moment ou l’autre je vais avoir envie de m’évader….
Enfin j’ai pu me poser tranquillement pour lire et déguster ce billet, comme toujours riche en découverte, avec des images qui nous nourrissent le coeur et un texte palpitant qui nous permet d’être du voyage. Du coup trop tard pour te souhaiter Noël… Mais j’espère que ces fêtes de fin d’année ont été joyeuses et pétillantes, et puis reçois tous mes voeux pour 2018: santé, tout plein de voyages et puis mille joies et bonheurs dans le quotidien; merci pour tes partages qui nous font voyager et font tellement de bien dans le quotidien!
Bonsoir Cécile,
J’aime beaucoup le fait que tu prennes ton temps pour lire et déguster comme tu le dis ces lignes. Merci tout simplement! Les fêtes ont été belles, les jours de congé qui les ont accompagnées très reposants. Me voila toute requinquée pour attaquer une nouvelle année. J’espère que toi aussi tu as passé du bon temps et que ta nouvelle année t’apportera d’innombrables satisfactions. Belle soirée et à bientôt
Bonjour Christine et bonne année,
Je suis assez fasciné par l’art Perse et cette superbe architecture. Tes photos rendent vraiment justice à leur beauté. Bravo aussi pour la galerie de portraits à balais, j’aime beaucoup et il fallait oser franchier le pas.
Bonne journée
Bonsoir Sébastien,
L’art et la culture perse sont d’une richesse incroyable. Je ne m’y connais pas beaucoup mais j’ai plusieurs fois été saisie d’une réelle émotion face à tant de beauté. Je n’ai pas grand mérite pour les portraits. Les Ouzbèkes ne sont pas du tout farouches et acceptent sans aucun problème de se laisser photographier si on le leur demande avec un sourire. C’est vraiment très gratifiant pour un photographe. Merci d’être passé par ici et à une prochaine. Bonne soirée.